Aphorisme (12) : J.K Rowling

  J.K Rowling a, je pense, passé un pacte avec le diable, là, je pense à Faust. L’immense succès commercial de son œuvre amène à se poser la question. A vrai dire, sa méthode d’éducation de la jeunesse ne va pas dans le sens du programme évangélique, Harry Potter est un sorcier, la prière n’est pas son fort ! Je dirais que la réponse est à chercher du côté de Simon le Mage, c’est sur lui qu’est fondée la gnose Franc-Maçonne ! Dante, au chapitre XIX, le met tout entier en enfer, lui et ses disciples. Moïse lui-même avait condamné cette pratique, et dès lors que Dieu ne fut plus reconnu elle s’est répandue comme une trainée de souffre. J.K Rowling, à la différence de J.R Tolkien et de C.S Lewis, n’a jamais su représenter la véritable nature du bien, l’univers d’Harry Potter n’est rien d’autre qu’une vaste géographie de l’enfer.

                                                                  Antoine Carlier Montanari