Aphorisme (112) : L'immigration
La montée des partis populistes est pareille à ce rejet de la greffe par le malade. Force est de constater que le greffon, l’immigration, n'a pas eu de prise sur l'organisme sur lequel elle devait s'assimiler. Ainsi, le docteur doit ôter ce greffon afin que le malade ne périsse pas de cet apport. Effectivement le corps du malade a rejeté tout naturellement ce qui lui avait été désigné comme bénéfique par le docteur. Ainsi, pour satisfaire la morale, le docteur peut s'avérer être un bourreau.
Antoine Carlier Montanari