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" Notre foi doit être simple et claire, pieuse et intelligente. Il faut étudier, réfléchir pour se faire des convictions, des idées sûres, se donner la peine d'aller jusqu'au fond de soi-même, de ses croyances. » Marthe Robin

23 Mar

Le Dessous Des Toiles : Le Féminisme

Publié par Alighieridante.over-blog.com  - Catégories :  #Le Dessous Des Toiles

Le livre d’Edward Bernays, "Propaganda", décortique le phénomène manipulatoire qui se cache derrière le féminisme et les revendications de la femme. La lecture des ouvrages de Michel Clouscard permet également de mettre en perspective la manière dont le Capital, dans cette histoire-là, oriente la colère des femmes à travers leurs revendications pour obtenir d’elles des nouveaux marchés. Le féminisme, sous certains égards, est dupé par des mécanismes dont l’objectif n’est pas du tout celui d’anoblir les femmes, bien au contraire, on empoigne certaines revendications légitimes afin de dissoudre les valeurs morales afin de faire passer la société de l'être dans une société de l'avoir et du désir. Aussi le féminisme est devenu le relais du libéralisme libertaire qui fait de la femme d’avantage un corps qu’un esprit. Il n’est donc pas étonnant, au regard de l’affaiblissement de la morale chrétienne et de l’émancipation sexuelle de la femme, que la pornographie soit devenue un marché aussi florissant. La femme s'offre désormais plus volontiers au marché du vice avec une décomplexion totale et pour le plus grand plaisir des hommes. Ceux-ci ont en effet obtenus un accroissement des possibilités d'accouplement.

Le modèle mariale de la Vierge à l’enfant a été relégué aux oubliettes pour être remplacé par l'archétype romantique de la femme fatale à la beauté de méduse castratrice et anti-féconde. L'écrivain italien et historien de l'art Mario Praz aborde la question avec le décadentisme miltonien relayé à merveille par l'épouse du sulfureux poète Shelley, à travers son Frankenstein. En effet la sensibilité érotique du romantisme est ce que l'on peut appeler la fascination de la corruption où la séduction tumultueuse est cette beauté sombre qui comme Méduse pénètre l'âme avec un regard exquisément aiguisé dont la noirceur l'engourdit jusqu'à la pétrifier. Disons que cette volupté de l'horrible est cette nouvelle sensibilité qui cherche à approfondir la beauté mélancolique de Satan. Cette beauté fatale est donc cette prêtresse qui délibérément mène l'homme au sacrifice en lui mettant le feu aux couilles. Le baudelairien sera de quoi je parle, comme le machiavélien d'ailleurs. L’étreinte de la femme, désormais, a toutes les caractéristiques du vampirisme.

Aussi hautement animé par l'instinct sexuel, l'homme ne sait plus aimer. La lecture de "Sexe et Caractère" d'Otto Weininger est hautement conseillé. Quand un homme en effet, aime au sens grec, au sens platonicien, au sens christique, l'union physique est impensable. Le sentiment amoureux est alors ce qui dupe l'homme et la femme, naturellement ils confondent ce débordement physiologique avec l'amour. L'amour véritable survit à tous les éloignements, nous dit Weininger, il est vrai, pour l'homme supérieur, la femme qu'il désire et la femme qu'il aime sont deux êtres totalement différents. Pour les autres cette différentiation est nullement visible. Proust et Balzac nous disent que la coquetterie est l'illusion qui masque le manque de contenu, ce vide la femme le dissimule par sa beauté. Or l'homme honnête conquis et dupé, rougira d'avoir aimé quand il s'apercevra que cette beauté est véritablement l'ornement de la bêtise.

Pour Georg Simmel la femme demeure en surface des choses, elle ne comprend pas l'abstrait, chez elles la vie sentimentale et la vie pratique prédominent outrageusement. Il y a certes des modèles de femmes remarquables comme par exemple la philosophe Simone Weil mais ce n'est pas une loi tendancielle. A vrai dire le féminisme bien compris doit impérativement introjecter le modèle marial et les figures tutélaires du féminisme catholique à travers les saintes qui ont émaillées l’Europe puis le monde en constituant des ordres spirituels avec lesquels la civilisation occidentale a pu s'élever comme aucune autre. Dans cet univers entièrement bâtit sur l'humilité, le désir seul de Dieu, du Dieu Christ mort sur la croix, qui est devenu aujourd'hui incompréhensible pour le commun des mortels, des millions de femmes ont construit silencieusement mais surement une idée de l'amour que Mère Térésa a su admirablement concentrer en plein cœur du monde. Si Claire d'Assise, Sainte Thérèse d'Avila, sainte Hildegarde et sainte Thérèse de l'enfant Jésus ont entre beaucoup d'autres, éloigner l'homme du reptile, il n'en est rien de ces femmes boulimiques de chair et de séduction qui fascinent par millions des êtres à la dérive dont le seul objectif est de trouver la félicité matérielle. Le "Féminin et le sacré" (ici) de Catherine Clément et de Julia Kristeva va dans ce sens, c'est un remarquable ouvrage sur la mesure et la démesure de la féminité. Et pour qu'on ne dise pas que je suis ceci ou cela, il faut dire que l'oeuvre de ces deux femmes a une influence sur le féminisme international contemporain.

 Aussi le féminisme activiste ne désire plus qu’une chose de l’homme à propos de la femme c’est de lui permettre d’être enfin parfaitement active. Cette catégorie de femmes contredit le rôle passif qui est le sien et qui est généré physiologiquement par l’acte sexuel, cette force de réceptivité indique bien qu’elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes que lorsqu’elles y sont forcées comme lors de l’accouchement. Georg Simmel, dans son ouvrage "Secret et sociétés secrètes" (ici), souligne cette passivité de l'être féminin en rapportant l'effet de la parure ou des atours sur la femme. En effet, la femme, en parant son corps pour séduire, attend des autres la récompense d'être admirée. Cette possession corporelle est un principe de réceptivité au même titre que la statue magnifiquement sculptée qui est admirée dans un musée. La lecture de "Sarrasine" (ici) de Balzac témoignera de cette féminisation à l'oeuvre. Cette disposition inconsciente et involontaire dont elles ignorent la puissance ne fait que leur rappeler, plus ou moins violemment, qu’elles désirent être pénétrées par des corps étrangers dont l’instinct sexuel les poussent irrémédiablement à pénétrer. L’extraordinaire puissance de cet instinct qui engendre le besoin d’être justement pénétré et qui se manifeste dans sa propre constitution à désirer ardemment un enfant, est un automatisme psychologique si fort que la femme est abusée et se soumet à cette loi du mouvement que l’homme se doit d’honorer par sa vitalité. Toute sa nature originelle tend à concevoir les choses sous l’aspect de l’Eros, une femme préfère être désiré pour son corps qu’admirer pour son esprit, d’un côté la forme et de l’autre le fond. Car la beauté qui attire tant d’hommage à la femme lui fait bien préférer le miroir que le livre.

 Il n’est donc pas étonnant que la pleine lumière de cette réalité puisse être terrible pour la femme, son corps est naturellement voué à se comporter comme un astre puissant qui attire à lui les autres corps célestes. En ce sens elle attire à elle les hommes comme le miel attire les mouches. Ce pouvoir d’attraction est si intense que lorsqu’elle en prend pleinement conscience, elle en use comme il se doit pour piéger les hommes. Cette passivité déjà exprimé plus haut est aussi facilité par des artifices de séduction dont les effets ont pour objectif d’amplifier sa puissance d’attraction. Il n’est donc pas étonnant que dans les principes constitutifs moraux des grandes religions la femme doit veiller à ne pas exposer la nudité de son corps. Ainsi les grecs ont magnifiquement exprimé la chose à travers le mythe de la gorgone Méduse. En effet elle est l’expression de l’éréthisme masculin qui indéniablement empêche bien l’homme de disposer de son esprit. Il est alors pétrifier par son envie comme le lapin devant la lumière des phares d’une voiture en pleine nuit. Ainsi l’homme peut ainsi être mené par la baguette. L’image du serpent charmé par le joueur de flûte sorti de son panier est aussi représentative du sexe de l’homme excité. La femme s’étant faite l’instrument idéal du plaisir de l’homme, elle a réduit l’homme à sa sexualité et ce faisant elle obtient grâce à cela cette puissance souveraine sur le phallus.

 Si l’idéal de la virginité est exigé par l’homme, la femme exige quant à elle que l’homme laisse parler en lui son sexe. C’est pourquoi l’émancipation réelle de la femme doit passer par l’abandon en elle de la servitude sexuelle que lui impose la loi biologique. Son statut de soumission à travers le coït ne peut réellement la rendre libre puisqu’elle dépend de cette soumission pour donner la vie. La Vierge Marie est cet archétype de soumission non pas à la loi naturelle mais à la loi divine. L’idée de chasteté s’est alors répandue dans toute l’Europe et l'amour courtois a pris le pas à travers la chevalerie. On peut retrouver, à ce propos, ce qu'est cet amour courtois dans la célèbre pièce de théâtre d'Edmond Rostand, "Cyrano de Bergerac".

 Pour démontrer ce qu'est devenu aujourd'hui la femme en proportion de l'activisme véhément des mouvements féministes, l'art va nous servir de tremplin visuel à travers quelques exemples référentiels et symptomatiques de la femme. Tout d'abord considérons la femme parfaite, la femme vierge, la femme lumineuse, la femme que l'on prie. C'est la "Madone au pré" de Raphaël réalisée vers 1506. Raphaël a rendu visible la grâce, déposée à même sur les lèvres de la Vierge dont le sourire à peine esquissé révèle toute la disposition affectueuse de la femme vertueuse. A vrai dire la délicatesse de la Vierge est visible jusque dans la coordination de ses mains où l'enfant Jésus en accord avec le petit Jean-Baptiste, y est proprement maintenu. Notez la position de la jambe droite de la Vierge et de son pied droit précautionneusement sorti. Notez aussi les couleurs incarnat et bleu de ses vêtements, tous ces éléments intronisent le chef d'oeuvre de Léonard de Vinci peint aux alentours de 1508, la "Sainte Anne, la Vierge, l'enfant Jésus et l'agneau". Les sourires respectifs de la Vierge, de sa mère et de son fils établissent une trinité axiale dirigée vers le ciel par l'enfant Christ. Cette filiation trinitaire révèle également l'importance de la mère de la Vierge, sainte Anne. Léonard de Vinci tisse ainsi le phylum féminin qui donnera naissance au Messie, au plus grand des hommes, à savoir le Christ. Autrement dit, Anne pré-établit la Vierge puis la Vierge pré-établit le Christ, cette généalogie pré-établit donc le salut de l'humanité.

 La ressemblance avec la peinture de Raphaël ne s'arrête pourtant pas là, en effet, dans la structure environnementale, derrière les personnages, est également visible un premier plan végétal et terreux, en bas et un deuxième plan minéral et cristallin, en haut. Cette superposition jointe dans une horizontale au deux tiers de la verticale, est manifestement liée par l'intercession de la Mère et du Fils. Ainsi est jointe la terre au Ciel comme il le fut au temps d'Adam et Ève avant le péché. Il ne faut également pas omettre l'importance du vêtement rouge et du manteau bleu  de la Vierge dont l'agencement a été savamment travaillé. En effet, suite une ordonnance rigoureuse, le manteau bleu qui recouvre le vêtement rouge symbolisent l'unité des larmes de la Vierge et du sang du Christ à travers la Sainte Passion. On parlera ici, pour la théologie du rôle de rédempteur du Christ et celui de corédemptrice de la Vierge. Indéniablement ces artistes ont su admirablement refléter la dignité féminine dans une sorte d'achèvement pictural indépassable. Autant dire que s'ils n'avaient pas eu ce regard de la femme nourri par le dogme virginale de la Mère de Dieu et de son statut royal, on aurait jamais eu de telles contemplations à admirer. 

 Tout naturellement, descendant de la Vierge Marie, on retrouve la femme pudique, la femme fleur et la femme vie. "Femmes au jardin" de Claude Monet en 1866, traduit cette apocatastase du jardin d'Eden. On y voit en effet 4 femmes magnifiquement nappées de lin et de coton blanc faisant échos en nature aux fleurs aussi immaculées que celles qui furent comparées aux étoffes du grand Salomon. Au milieu de cette nature luxuriante, le soleil y dévoile quelques rayons que le maître a ciselé par endroit afin de faire resurgir en contraste l'ombre des végétaux. Cette dualité exerce sur le spectateur une sorte d'hypnose sensorielle qui a pour but de reposer. A l'ombre de ces jeunes femmes en fleur se dessine en réalité l'apothéose de la femme idéale. Monet fait ici surgir, à travers l'arbre au centre de la toile, d'une part l'idée de l'arbre du jardin d'Eden et d'autre part la présence du dieu grec Priape que la main de la jeune femme de droite semble toucher. Cette scène symbolise l'amour platonique où le féminin, prodigieusement blanc, est rendu immaculé. Si Monet rend grâce conséquemment à la vertu de la femme, l'ouverture ensoleillée dans l'abondante végétation et la prodigue floraison qui fécondent en arrière plan, est cette virginité impressionniste dont Monet usera en abondance, par la suite, dans ses grands ciels lumineux.

 Tout naturellement ce portrait de la femme va tout doucement disparaître avec Edgar Degas. Ses "Trois femmes se coiffant", peintes en 1875, est l'entrée du voyeurisme sociologique dans la peinture. Degas met à profit l'intimité de la femme dans une série de peintures dont les scènes sont autant de représentations du quotidien. Le bain, la toilette, la coiffure et toutes ces activités besogneuses de la femme de chambre. Degas perçoit le rôle animale de la femme à travers des rituels héréditaires dont les gestes révèlent les convictions naturelles de la femme. A ce jeu là, comme on peut l'observer sur la peinture, la femme est alors comme le chat qui fait sa toilette. En réalité Degas a peint trois fois la même femme dans des postures différentes, de face, de dos et de côté, à la manière du naturaliste qui, sous tous les angles, observe son sujet d'étude. La chevelure est ici l'image des poils du chat dont la mise en forme demeure essentielle pour la femme, c'est l'expression de sa beauté, de sa volupté et de sa sexualité. La femme est donc ici réduite à son nombril, à sa trivialité, à sa nature animale. La dominante ocre et terreuse des coloris valident le côté argileux de la nature humaine, et plus encore avec la contorsion de la nuque qui entraîne les femmes à regarder vers le bas. Degas signe là une peinture où le spirituel est laissé au blanc qui pare les femmes, comme si le peintre avait laissé malgré lui un espace à l'innocence.

 En 1930 et 1931, la peintre Tamara de Lempicka peint successivement "Nu aux buildings" et "Nu aux voiliers". Ces deux peintures, synthèse de la modernité picturale du XXème siècle où s'influencent successivement le tubisme et le cubisme des peintres communistes Fernand Léger et Picasso, assument le caractère déconstructivisme du maniérisme  pictural de la modernité. Aussi, d'une part dans la toile "Nu aux buildings", la frigidité cadavérique des grattes-ciel qui s'opposent en apparence à la pulpeuse carnation de la femme, dévoile en réalité la mélancolie et le deuil dont le drapé, sur les genoux de la jeune femme, est pareil à un linceul. Tamara de Lempicka souligne ici de manière tranchante la femme moderne (1). Cette reconstruction psychologique de la femme rappelle ici le Metropolis de Fritz Lang où le personnage de Maria est une femme androïde. Le film a été réalisé en 1927, soit trois ans avant que Tamara de Lempicka peignent sa toile. Si la femme est ici amalgamé à la matière froide et inerte, enchâssée dans une modernité sophistiquée produite par la machine, elle n'en demeure pas moins une chair sensuelle et élégante que la mode va endiablée à travers une mondanité outrageante et extravagante dont le bon goût sera de dévêtir en permanence. D'autre part dans la toile "Nu aux voiliers", la femme mélancolique et triste peinte sur la toile, est entièrement dénudée et assise sur un socle froid, lisse et métallique. Les voiles, en arrière plan, presque lacérées, n'offrent au regard qu'une idée vague du voilier, l'artiste suggérant à travers la croisière de luxe, la haute société, de cette manière l'artiste associe la femme à la luxure.

 Ainsi, en 1932, Tamara de Lempicka adhère au groupe des femmes artistes modernes. Cet engagement moral confirme sa tendance à se conformer à l’évolutionnisme social darwinien qui veut émanciper la femme à tous les niveaux. Ce faisant, dès les années quarante, Tamara de Lempicka conseille les femmes pour se mettre en valeur. Elle y dispense des conseils sur la coiffure et les soins de beauté, créant même une nuance de rouge à lèvres (2), en écho peut-être au fameux parfum de Coco Chanel créé en 1921. Aussi, on ne s'étonnera donc pas, par la suite, que la mode et l'industrie du cosmétique vont devenir des secteurs de production en plein essor. Il faut également mentionner, en rappel de la coquetterie, que Tamara de Lampicka lança en 1941 une campagne de presse qui enseignait la manière de conquérir un homme. Cette dynamique de la séduction qui rappelle celle relatée par Edward Bernays dans son ouvrage "Propaganda", et qui, à la demande de l'industrie cigarettière pour faire augmenter la vente de cigarette, fit croire que l'acte de fumer en public pour une femme était un moyen symbolique de s'approprier l'expression du pouvoir masculin qu'était devenu la cigarette, est une tactique vouée à faire parler le sexe qui est dans l'homme. Pour la petite histoire, la cigarette, une fois allumée en public, devenait cette même torche que porte la statue de la liberté à l'embouchure de l'Hudson.

 A propos de la liberté de la femme, il faut ajouter que la représentation symbolique de son émancipation se retrouve dans la toile de Eugène Delacroix, intitulée "La liberté guidant le peuple", peinte en 1830. Cette liberté guidant le peuple au bonnet phrygien, et qui par ailleurs renvoie à la déesse républicaine "Marianne", dont le nom est l'association d'une part du nom de la Vierge, à savoir "Marie" et d'autre part de celui de sa mère, à savoir "Anne", et qui le bras levé dont on relèvera l'étrange rapport avec celui de la statue de la liberté, marche les seins nus sur des cadavres avec un fusil dans la main gauche. Cette sémiotique enfantée par la révolution perverti en réalité la femme en lui octroyant sa liberté au détriment de sa dignité.

Antoine Carlier Montanari

 

                                                 

(1) Gioia Mori Tamara de Lempicka, la Reine de l'Art déco, Ed.Skira, p50

(2)Gioia Mori Tamara de Lempicka, la Reine de l'Art déco, Ed.Skira, p80

 

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